Critique : Homeland – Saison 4
À la fin de la saison 3, Homeland prend le risque d’exercer un bouleversement majeur dans sa formule. L’occasion de renaître tel le phénix ?
À la fin de la saison 3, Homeland prend le risque d’exercer un bouleversement majeur dans sa formule. L’occasion de renaître tel le phénix ?
Penny Dreadful est la série estampillée 007. Elle possède un James Bond, une James Bond Girl et elle est créée par John Logan, scénariste de Skyfall.
Après une excellente saison 2 ayant réussi l’exploit de surmonter une première incursion fortement mitigée pour ma part, Homeland revient.
Huit saisons. Difficile à croire, mais Dexter a bien duré 8 saisons complètes. Revenons désormais sur la fin. Est-elle à la hauteur ?
Après une première saison décevante car trop prévisible, la série Homeland décolle avec cette deuxième saison.
Après nous avoir laissé sur le cul avec un final dont la série a le secret, on avait bien hâte de revenir pour un nouveau ballet sanglant avec Morgan Dexter.
Vainqueur de 4 Emmy, Homeland est une série dont l’un des créateurs a été longtemps scénariste sur 24 heures chrono.
Encore une saison pour le serial killer le plus sympathique de tous les temps et mine de rien, nous en sommes déjà à la sixième. Parmi les bonnes nouvelles de cette saison, c’est qu’il n’en restera plus que 2.
Après nous avoir enthousiasmés des années durant en étant Mulder, le « believer », Duchovny s’était exilé au cinéma mais malgré quelques réussites, il n’a jamais réussi à y percer…