Critique : Spider-Man : Homecoming
Civil War avait permis de découvrir un jeune et fringuant Spider-Man flanqué d’une superbe Tante May. Homecoming offre de le connaître.
Civil War avait permis de découvrir un jeune et fringuant Spider-Man flanqué d’une superbe Tante May. Homecoming offre de le connaître.
Pour aujourd’hui, Spider-Man nous offre deux bandes-annonces, un aperçu exclusif et deux posters. Toujours le cœur sur la main.
Plus que quatre mois avant la sortie de Spider-Man: Homecoming, ça se fête avec une nouvelle bande-annonce.
Ce soir, l’injustice est enfin réparée avec la sortie de la version longue de la bande-annonce de Spider-Man: Homecoming en VF et en VOST.
Après un excellent teaser avec Happy Hogan, c’est au tour du boss de faire son apparition pour la bande-annonce de Spider-Man: Homecoming.
Des fois, je tombe sur une bande-annonce et je sais que je vais aimer le film. Vive les vacances en fait partie. Pourtant, c’est une très grosse connerie.
Après le succès surprise du premier, Sony était trop heureux de remettre ça. Il faut dire que ses projets satisfaisants se comptent des doigts de la main.
Le blockbuster de la comédie, The Incredible Burt Wonderstone, s’est ramassé la gueule au box-office américain. Pourtant, c’est drôle.
Le film n’innove rien, il ne fait que suivre les chemins battus et rebattus de la comédie américaine à savoir exploiter une idée de départ sur un scénario déjà prêt.