Critique : SOS Fantômes : L’Héritage
Prenant totalement à contre-courant le SOS Fantômes de 2016, L’Héritage se raccroche aux deux premiers films en étant une suite.
Prenant totalement à contre-courant le SOS Fantômes de 2016, L’Héritage se raccroche aux deux premiers films en étant une suite.
Alors, on enfile ses lunettes noires, son costume noir, on est en mission pour le seigneur. Aujourd’hui, c’est Les Blues Brothers.
Faites chauffer la Cadillac Ecto-1, sortez les packs à protons, cette semaine, c’est S.O.S. Fantômes. La version de 1984, évidemment.
L’avantage avec ce genre de films, c’est qu’on n’en attend pas beaucoup. Dès lors, ils sont en position de force pour devenir une surprise.
Ce film ne me disait rien jusqu’au jour où j’ai découvert le nom du réalisateur : Tate Taylor (La Couleur des sentiments).
Après avoir passé une semaine plutôt déprimante avec Marilyn, on nous propose de passer carrément une vie avec Liberace. Mais qui est-il ?
Servi par une campagne promo et une bande annonce emballante, Moi, député (pour reprendre l’expression favorite de notre cher Flamby national) nous sert un duel au sommet entre deux figures sacrées de la comédie américaine. Will Ferrell qu’on ne présente plus et Zach Galifianakis qu’on ne présente plus non plus. Qui remportera la campagne ?
Clang, roooooolll, ping, mais putain, qu’est-ce que t’as foutu ? Respectivement le bruit de ma mâchoire qui cogne sur la table puis de la langue qui…