Critique : Arrested Development, les nouveaux pauvres – Saison 4
Fort attendue, cette nouvelle saison d’Arrested Development, les nouveaux pauvres se révèle être un pétard mouillé.
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Fort attendue, cette nouvelle saison d’Arrested Development, les nouveaux pauvres se révèle être un pétard mouillé.
Avec Louis C.K., j’ai découvert un roux avec les cheveux dégarnis et une barbe en forme de O autour de la bouche.
Après une 1ère saison moyenne et une 2ème prometteuse, Kenny Powers était de retour. La saison 3 est celle de l’apothéose.
Une saison 3 au niveau de ses prédécesseurs. L’inspecteur John Luther signe un retour réussi malgré l’attente.
La saison 3 est terminée. C’est reparti pour un an d’attente. Un an à gamberger. Mais bon, ce n’est pas tout, j’ai une critique à boucler.
Il fallait un après Smallville pour remplir le trou. On avait longtemps pensé que ce serait que le mec qui nage avec les dauphins mais non.
Ne nous mentons pas, le principal argument pour regarder The Following, c’est Kevin Bacon mais que vaut vraiment la série ?
Après nous avoir brisé le cœur dans le sublime (500) jours ensemble de Marc Webb, Zooey (avec deux ‘o’) est de retour pour SA sitcom.
La saison 2 était une grosse réussite mais oubliez-la. Cette troisième saison la surpasse en tout point. Montée en puissance.
Sherlock a fait son retour sous Guy Ritchie avec Robert Downey Jr. Ce que l’on sait moins, c’est qu’il y a eu aussi une série sur la BBC.
Asylum est une saison bien plus aboutie d’American Horror Story grâce à un endroit bien plus terrifiant que la maison hantée.
Une mini-série sympa à suivre mais souffrant de beaucoup de défauts l’empêchant d’accéder à un meilleur statut.