Critique : American Bluff
Propulsé après deux chefs d’œuvres, David O. Russell revient avec une surprise de taille : la réunion du casting de ses deux précédents films.
Parce que chez Le blog de Marvelll, on est des fous de cinéma, on a donc besoin d’en parler encore et encore. Cette catégorie résume toutes les divagations de ses rédacteurs dans le genre.
Propulsé après deux chefs d’œuvres, David O. Russell revient avec une surprise de taille : la réunion du casting de ses deux précédents films.
RoboCop a connu un tournage tourmenté que José Padilha a raconté à son ami Meirelles via les mots suivants : c’est l’enfer ici. Ambiance !
C’est avec une tendresse particulière que j’ai regardé All About Albert, car il s’agit du dernier film de James Gandolfini.
Pas de doute en allant voir I, Frankenstein. On s’attend à un nanar. Par contre, toute la question réside en : est-ce jouissif ?
Décidément, Chris Pine et le reboot forment un couple uni. Après celui de Star Trek, voici venir celui de Jack Ryan, héros de Tom Clancy.
Nominé aux Oscars dans six catégories et lauréat de deux Golden Globes, Dallas Buyers Club débarque avec l’assurance d’un cador.
Match retour a fait le buzz avant la moindre image, il faut dire que c’était tout simplement un combat fantasmé entre deux monstres sacrés.
L’adaptation cinématographique de l’Opération Red Wings ayant entraîné l’une des défaites les plus coûteuses de l’armée américaine.
Dans son titre, le film de Srdan Golubović y trouve son essence. Peu clair au départ, il est expliqué lors d’un dialogue.
On ne présente plus le danois Tobias Lindholm, scénariste sur la série Borgen et le poignant La Chasse, réalisateur d’Hijacking… et R.