Critique : Oppenheimer
Depuis Inception, je n’arrive plus à accrocher au cinéma de Nolan. Malheureusement, ce ne sera toujours pas le cas avec Oppenheimer.
Depuis Inception, je n’arrive plus à accrocher au cinéma de Nolan. Malheureusement, ce ne sera toujours pas le cas avec Oppenheimer.
Narrant le récit rocambolesque du deal historique entre Michael Jordan et Nike, Air, le nouveau film de Ben Affleck, est une pépite.
Avec Love and Thunder, Waititi est allé encore plus loin que sur Ragnarok. Cela donne un film moins maîtrisé, mais bourré de bonnes idées.
Le Mans 66 est un film hollywoodien classique mais d’une efficacité redoutable. Surtout quand on pénètre au sein des véhicules.
Zhang Yimou nous fait un lâché de Block dans le buster. C’est divertissant et avertissant à la fois par la force des plans choisis.
Après trois films et un spin-off, la saga Jason Bourne revient avec son acteur fétiche Matt Damon et surtout le réalisateur Paul Greengrass.
Après Il faut sauver le soldat Ryan et le film de Nolan, il va falloir à nouveau aller chercher Matt Damon pour le ramener à la maison.
L’histoire, les thèmes et la durée d’Interstellar en font le film le plus ambitieux de Christopher Nolan. Le résultat est à la hauteur ?
Christopher Nolan nous invite pour une nouvelle odyssée dans l’espace, 46 ans après celle de Kubrick, sauf que le temps s’en mêle.
Difficile de sortir satisfait de la séance de Monuments Men du fait de son sens du rythme parti au soleil avec l’humour et l’émotion.
Après avoir passé une semaine plutôt déprimante avec Marilyn, on nous propose de passer carrément une vie avec Liberace. Mais qui est-il ?
Comme Max Da Costa, je rêvais d’aller faire un tour sur Elysium afin de découvrir les merveilles du nouveau long-métrage de Neill Blomkamp.